Burkina Faso News

e chemin vers la couverture universelle

Des experts de cinq pays (Burkina, Côte-D’Ivoire, Mauritanie, Sénégal et Togo) se penchent sur la problématique des dépenses dans le secteur de la santé. Au cours des quatre jours assignés à la tenue de cet atelier, plusieurs thèmes importants seront discutés.

Avant de rentrer dans le vif du sujet qui les réunit, les participants feront le point sur la couverture universelle et les systèmes de santé avant de passer en revue les systèmes de financement de la santé et les dépenses directes de ménages des pays prenant invités.

Issus du Bénin, du Burkina, de la Côte-D'Ivoire et du Mali, ils sont une vingtaine de spécialistes de la santé venus affiner leurs connaissances dans le domaine pointu de la vaccinologie. Ce cours qui se tient dans la capitale économique du Burkina, une première en Afrique francophone, est le fruit d'un partenariat international et l'Institut Supérieur des Sciences de la Santé de l'Université Polytechnique de Bobo-Dioulasso (INSSA) en assure la mise en oeuvre.

Echanges autour du plan de travail 2012-2013

La séance aura duré un peu moins de deux heures d’horloge. Entre partenaires de longue date, le temps n’est plus la négociation mais plutôt à comment améliorer ce qui est déjà bien apprécié.

Du 13 au 15 décembre 2011, quelque 25 communicateurs et épidémiologistes d’Afrique de l’Ouest se sont retrouvés à Ouagadougou (Burkina Faso) au siège de APOC-MDSC dans un atelier consacré à la communication pour les programmes de la vaccination en Afrique de l’Ouest.

Les pays représentés étaient le Burkina aso, le Ghana, la Guinée, le Libéria, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Nigéria, le Sénégal et la Sierra Leone. Quoiqu’invités, le Bénin et la Côte d’Ivoire n’ont pas pu faire le déplacement.

C’est parti pour la phase III qui concerne 37 districts dans les régions sanitaires de Kayes, Sikasso, Mopti, Gao, Tombouctou et Kidal. Plus de 6 millions de personnes âgées de 1 à 29ans sont ciblées, soit 70% de la population.

Ouagadougou (le 21 nov 2016) - L’atelier sur le noma a pris fin le 11 novembre 2016 dans les locaux de l’ex-APOC, à Ouagadougou (Burkina Faso) par l’adoption d’une série de recommandations et en ouvrant des pistes de travail concrètes. Ainsi, les rapports techniques des activités menées entre juillet 2015 et octobre 2016 ont été présentés par le Bénin, le Burkina Faso,  la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo.

Prévention et réduction de la contamination du sorgho par les mycotoxines

Comment prévenir et réduire, au Burkina Faso, la contamination du sorgho, une des céréales les plus consommées du pays, par les mycotoxines, ces contaminants naturels de nombreuses denrées d'origine végétale (présentes dans les céréales mais aussi les fruits, noix, amandes, pommes et les produits manufacturés issus de ces filières destinés à l'alimentation humaine) et qui ne sont pas sans danger sur la santé humaine voire animale?

(Ouagadougou, Burkina Faso, 12 Août 2014) - L ’OMS, en collaboration avec le ministère de la Santé du Burkina Faso a officiellement remis le 11 août 2014, à Ouagadougou, à Dr Théodore Kangoye, le Prix OMS pour la Journée mondiale sans tabac 2014, « pour sa contribution exceptionnelle à la lutte antitabac ». Dans son allocution, Dr Fatima Zampaligré, venue représenter Mme le Représentant de l’OMS a indiqué que ce prix est une reconnaissance non seulement de la contribution du lauréat mais aussi des efforts faits par le Burkina Faso dans la lutte contre le tabac.

Cette célébration conjointe des Journées Mondiales de la Santé et de la lutte contre le Paludisme trouve sa justification du fait du rapprochement des deux thèmes qui ont pour lien la lutte contre les vecteurs. Ces agents (mouches, moustiques tiques,...) sont les principaux agents de transmission des maladies comme, la filariose, la leishmaniose et le paludisme.

Face à l’épidémie à virus Ebola, la première arme reste la communication. Depuis la confirmation de la présence du virus, le plan de riposte proposé par les autorités sanitaires a accordé une place importante à la communication.