Luanda – Joana Domingos avait depuis longtemps cessé de croire aux informations officielles sur la COVID-19 provenant des autorités nationales de son pays, l’Angola.
La mère de deux enfants était convaincue que le vaccin anti-COVID-19 faisait partie d’un plan mondial visant à exterminer les personnes les plus vulnérables – une désinformation reçue par le biais des SMS envoyés sur le téléphone portable.